Partenariat avec l’UNESCO

voir communiqué de presse : ici

La classe IMOCA et la Commission Océanographique Intergouvernementale (COI) de l’UNESCO ont renouvelé leur accord

En effet, depuis 2015, les deux institutions travaillent main dans la main pour la protection de l’Océan. Les skippers, en atteignant les régions les plus isolées, contribuent au déploiement des équipements scientifiques nécessaires à l’observation de l’espace marin.

Pour l’occasion un Campus « Planète Océan » a été organisé au siège de l’UNESCO, à Paris. Collégiens, skippeurs et scientifiques ont pu échanger pendant toute une matinée.

En introduction, Vinicius Lindoso a demandé :

« Qui dans la salle a déjà entendu parler de la crise climatique actuelle ? »

La plupart des mains se sont levées…

Ces enfants, bien conscients des problématiques actuelles, ont posé des questions très pertinentes comme « Serait-il possible de nettoyer l’océan de tous les plastiques ? Combien cela prendrait-il de temps ? » ou encore « La lutte écologique est-elle une guerre ?« 

Martin Kramp, Fabrice Amedeo, Stéphane Le Diraison, Boris Hermann, Paul Meilhat et Alexia Barrier ont répondu aux 300 jeunes en partageant chacun leur passion pour la voile et leur implication dans la recherche scientifique. Du plancton à l’oxygène, en passant par la pollution plastique, ils ont su montrer l’importance de l’Océan et donner envie de le protéger.

Alexia a expliqué comment les courants marins avaient joué un rôle dans les incendies ravageurs en Australie (cf.article ici)… Montrant ainsi le lien indissociable entre l’Océan et la vie terrestre.

Les jeunes ont aussi découverts tous les instruments scientifiques permettant l’étude océanographique (bouées, flotteur ARGO…)

L’accord de partenariat a ensuite été signé par Vladimir Ryabinin (secrétaire executif de la COI) et Antoine Mermod (Président de la Classe Imoca) en petit comité.

Un avis sur « Partenariat avec l’UNESCO »

  1. C’est au sujet de l’échouage des mammifères marins, es que par hasard ce serait dû aux câbles sous marin, je pense qu’ils sont un élément perturbateur de leur sonar.

    Il faut concevoir une plateforme qui permet d’aspirer les déchets plastiques et qu’ils soient transformés sur place pour être redirigés vers des produits écologiques.

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